Pour @Dexter :

La pilule du lendemain, connue sous le nom de contraception d’urgence, est très controversée quant à ses effets et ses effets potentiels. Il y a des opinions divergentes sur la question de savoir si cela peut fonctionner d’une manière qui pourrait être décrite comme « abortive précoce ».

Les pilules du lendemain sont conçues pour prévenir la grossesse après des rapports sexuels non protégés. Ils travaillent principalement en :

1. Ovulation retardée : Les pilules telles que celles contenant de l’acétate d’ulipristal peuvent retarder ou inhiber l’ovulation, ce qui empêche la libération d’un ovule.

2. Modifications de l’endomètre : Elles peuvent également provoquer des modifications de la muqueuse de l’utérus, ce qui rend difficile l’implantation d’un ovule éventuellement fécondé.

Il convient de noter que si l’embryon s’est déjà implanté, la pilule du lendemain n’a aucun effet sur la grossesse en cours et ne l’interrompt pas.

Certains critiques soutiennent que les effets de la pilule du lendemain peuvent être considérés comme des abortifs précoces en raison de ses effets sur l’endomètre. Une diminution de l’épaisseur de l’endomètre peut rendre difficile l’implantation de l’embryon, ce que certains interprètent comme une fausse couche. Cependant, comme le soulignent les experts, il n’y a aucune preuve que cette pilule fonctionne de manière à interrompre la grossesse si elle a déjà eu lieu.

Pour résumer, la pilule du lendemain est une méthode efficace de prévention de la grossesse en situation de crise et ne fonctionne pas de manière abortive précoce. Son action se concentre sur la prévention de l’ovulation et modifie la structure de l’endomètre avant l’implantation de l’embryon. Si l’implantation a déjà eu lieu, l’effet du comprimé est inefficace.

Et la pilule du lendemain a parfois un effet abortifif précoce ? Alors, n’est-ce pas le meurtre d’un embryon, d’un enfant au début de son développement, d’un avortement ? Il en va de même pour certaines pilules contraceptives, qui ont un double effet, donc en plus de leur effet contraceptif, elles peuvent entraîner une fausse couche.

"Un autre effet de l’utilisation d’agents hormonaux est leur possible effet abortif précoce. Ceci est causé par une diminution de l’épaisseur de la muqueuse utérine, ce qui peut entraîner des difficultés d’implantation de l’embryon. Cela signifie une fausse couche précoce et imperceptible pour la femme » (source : « W Drodze » 2013, n° 05)

Korzekwa-Kaliszuk a noté que la pilule dite du lendemain peut fonctionner de deux manières :

« L’une de ces actions est en effet l’action contraceptive, c’est-à-dire celle qui empêche la conception d’un enfant. Cependant, si la conception a déjà eu lieu, ou si elle se produira malgré l’utilisation de la pilule - et c’est possible - alors la pilule agit en entravant le mouvement de l’ovule déjà fécondé et provoque des modifications de la muqueuse de l’utérus, ce qui l’empêche de s’implanter" - a-t-elle déclaré.

Dans ce cas, c’est inacceptable. Nous ne savons pas comment cela peut fonctionner, nous n’avons pas cette certitude, il est donc préférable de ne pas risquer, de ne pas jouer avec la vie humaine - cela peut mal se terminer, et la femme peut même ne pas se rendre compte de ce qui s’est passé. Sans parler des effets secondaires sur la santé d’une femme, qui sont énormes.